« Some friendships are truly of the best kind. Yes, I'm talking about you guys ;) », Diarra K., 2011
Depuis quelques jours, je suis en train de réfléchir sur l'essence de l'amitié. En 2010, j'ai appris beaucoup sur l'amitié. Comment commence-je? ... Ca ne fait pas vraiment longtemps quand j'ai remarqué que j'ai des problèmes de parler sur moi-même, sur mes pensées, mes émotions; des problèmes de m'ouvrir aux autres gens, particulièrement aux personnes nouvelles. Je ne connais pas la raison pour cette attitude personnelle, mais elle est existante. Je suis en train de m'améliorer dans ce genre de personnalité (et j'espère que certaines personnes le peuvent confirmer), mais c'est dur. En tous cas, c’était toujours difficile pour moi de me lier d’amitié avec qn.
Le temps en France joue un rôle central. D'abord, le contact avec mes amis allemands a baissé. Mais en même temps, quelques amitiés sont devenues plus intenses. C'est bizarre et je ne l'avais pas attendu, mais c'est une conséquence très positive. Ensuite, je n'avais pas du contact avec certaines personnes, mais quand on s'est revus, c'était comme d'habitude. Wow. J’étais vraiment impressionné. Enfin, il y a bien entendu des personnes qui ne vont plus bien avec moi/moi je ne vais plus bien avec eux. Mais c'est aussi normal.
Les termes "amitié" et "ami" (Freundschaft/Freund) étaient toujours des mots que j'ai utilisé rarement. Une théorie dit qu’on a besoin des 5 amis, l'un pour parler, un autre pour sortir, un troisième pour... ? Mais sont-ils vraiment des amis? Ne sont-ils pas plutôt des copains? ...des homies? À mon avis, dans une amitié, il faut avoir la liberté de dire ce qu'on pense; il faut savoir la loyauté et le soutien de l’autre pendant des moments difficiles; et il faut avoir le privilège de fêter avec eux pendants des bons temps. Pour cette raison, il n'y a pas beaucoup de personnes qui sont des "amis" pour moi . Pourtant en fin de compte, les termes "ami" et "amitiés" ne sont que des constructions qu'on n'a pas besoin. Il faut se sentir bien avec eux, donc ce sont les sentiments qui décident et ce n'est pas du tout la rationalité.
Pendant le week-end, j'ai parlé beaucoup sur l'amitié. Une interlocutrice me disait qu'elle a fait ses amitiés les plus stables pendant la phase de la puberté. Pourquoi? Les personnes ont vécu avec toi la première perception de ton environnement, on a commencé à réfléchir et à refléter, on devient adulte... Moi, je ne suis pas complètement d'accord, parce que le développement de la personalité n’est jamais terminé (peut-être, je fais toujours ma puberté...? ;)
Ce que je veux dire, ce n’est pas forcement le temps qui décide. En France, j’ai fait la connaissance de bien de monde. Le temps tout récemment en Italie a montré qu’il y a un cercle des personnes moins grand (mais assez!) qui s’est construit… mais comment ? Par l’hasard ? Il n’a pas suit un plan préfabriqué, mais non plus spontané. Je connais ces personnes depuis un an et demi (maximum !) et nous n’étions pas forcement tous très proche à Lille. D’un côté, il y a bien sûr des tensions entre nous, des conflits, des petits problèmes, des groupes, mais d’autre côté, nous sommes unis par ce lien particulière (= l’amitié ?). Je pourrait écrire beaucoup sur ce sujet. On penserait que le lien décline au fil de temps, mais c’est l’inverse : il gagne en intensité. Je ne le comprends pas très bien. Mais peut-être, il ne faut pas réfléchir, il faut en bénéficier…
Bon: « Si enfin je pouvais connaître tout ce que le monde cache en lui-même » Je n’ai toujours pas compris l’essence de l’amitié, même si cette question me préoccupe pour le moment. Je n’ai pas un concept dans ma tête, mais j’ai un sentiment dans mon cœur. Ce qui compte !?
Depuis quelques jours, je suis en train de réfléchir sur l'essence de l'amitié. En 2010, j'ai appris beaucoup sur l'amitié. Comment commence-je? ... Ca ne fait pas vraiment longtemps quand j'ai remarqué que j'ai des problèmes de parler sur moi-même, sur mes pensées, mes émotions; des problèmes de m'ouvrir aux autres gens, particulièrement aux personnes nouvelles. Je ne connais pas la raison pour cette attitude personnelle, mais elle est existante. Je suis en train de m'améliorer dans ce genre de personnalité (et j'espère que certaines personnes le peuvent confirmer), mais c'est dur. En tous cas, c’était toujours difficile pour moi de me lier d’amitié avec qn.
Le temps en France joue un rôle central. D'abord, le contact avec mes amis allemands a baissé. Mais en même temps, quelques amitiés sont devenues plus intenses. C'est bizarre et je ne l'avais pas attendu, mais c'est une conséquence très positive. Ensuite, je n'avais pas du contact avec certaines personnes, mais quand on s'est revus, c'était comme d'habitude. Wow. J’étais vraiment impressionné. Enfin, il y a bien entendu des personnes qui ne vont plus bien avec moi/moi je ne vais plus bien avec eux. Mais c'est aussi normal.
Les termes "amitié" et "ami" (Freundschaft/Freund) étaient toujours des mots que j'ai utilisé rarement. Une théorie dit qu’on a besoin des 5 amis, l'un pour parler, un autre pour sortir, un troisième pour... ? Mais sont-ils vraiment des amis? Ne sont-ils pas plutôt des copains? ...des homies? À mon avis, dans une amitié, il faut avoir la liberté de dire ce qu'on pense; il faut savoir la loyauté et le soutien de l’autre pendant des moments difficiles; et il faut avoir le privilège de fêter avec eux pendants des bons temps. Pour cette raison, il n'y a pas beaucoup de personnes qui sont des "amis" pour moi . Pourtant en fin de compte, les termes "ami" et "amitiés" ne sont que des constructions qu'on n'a pas besoin. Il faut se sentir bien avec eux, donc ce sont les sentiments qui décident et ce n'est pas du tout la rationalité.
Pendant le week-end, j'ai parlé beaucoup sur l'amitié. Une interlocutrice me disait qu'elle a fait ses amitiés les plus stables pendant la phase de la puberté. Pourquoi? Les personnes ont vécu avec toi la première perception de ton environnement, on a commencé à réfléchir et à refléter, on devient adulte... Moi, je ne suis pas complètement d'accord, parce que le développement de la personalité n’est jamais terminé (peut-être, je fais toujours ma puberté...? ;)
Ce que je veux dire, ce n’est pas forcement le temps qui décide. En France, j’ai fait la connaissance de bien de monde. Le temps tout récemment en Italie a montré qu’il y a un cercle des personnes moins grand (mais assez!) qui s’est construit… mais comment ? Par l’hasard ? Il n’a pas suit un plan préfabriqué, mais non plus spontané. Je connais ces personnes depuis un an et demi (maximum !) et nous n’étions pas forcement tous très proche à Lille. D’un côté, il y a bien sûr des tensions entre nous, des conflits, des petits problèmes, des groupes, mais d’autre côté, nous sommes unis par ce lien particulière (= l’amitié ?). Je pourrait écrire beaucoup sur ce sujet. On penserait que le lien décline au fil de temps, mais c’est l’inverse : il gagne en intensité. Je ne le comprends pas très bien. Mais peut-être, il ne faut pas réfléchir, il faut en bénéficier…
Bon: « Si enfin je pouvais connaître tout ce que le monde cache en lui-même » Je n’ai toujours pas compris l’essence de l’amitié, même si cette question me préoccupe pour le moment. Je n’ai pas un concept dans ma tête, mais j’ai un sentiment dans mon cœur. Ce qui compte !?
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